Une lettre est livrée au quartier-général de la Maraude, à la Baie-du-Butin, dans la boîte aux lettres. Elle n'est signée au nom de personne.

En l'ouvrant on pourra clairement lire, avec une orthographe soignée et propre :

Citation :

Nous n'avons pas les mots pour décrire ce que vous avez fait ! Nous le savons que vous servez le « Marchand Noir » et que vous défendiez son commerce d'esclaves ! Nous avons mis des semaines et des semaines à créer des contacts avec ces malfrats pour anéantir le commerce de ce fou bourré à la poudre explosive ! Croyez-moi, on ne se laissera pas faire !

Attendez-vous à des représailles, Maraudeurs.

La feuille est légèrement pliée en deux, de façon à mieux la planquer pour le transport.

La lettre est enfin dévoilée à tout le monde pendant la pause en Strangleronce. Elle est à présent dans la sacoche du capitaine. La lettre est froissée et est porteuse de mauvaises nouvelles. Elle est en possession du capitaine depuis le 26 du troisième mois de l'an 35. Elle peut être la suite d'une vieille attaque orchestrée par la Maraude sur une plage à proximité de la Baie-du-Butin.

Citation :

Maraudeurs,

Vous n'êtes pas sans savoir que vous êtes à présent l'un de nos ennemis jurés. Nous avons ce que l'on nomme une « liste noire », qui répertorie toutes les organisations de malfaiteurs qui représentent un danger pour notre commerce, nos contrats. Vous êtes des ennemis mais nous pardonnons très facilement. C'est pourquoi le clan Galmier vous laisse précisément cinq jours pour prendre contact avec notre informateur basé à Menethil. Au-delà de ce délai, nous passerons à l'action et nous réclamerons de nouveau un pactole, mais plus cher, sinon les conséquences seront aggravantes.

Nous irons jusqu'au bout pour vous dépouiller si vous ne répondez pas.

La lettre est signée d'un grand « S », avec le nom clan Galmier bien calligraphié qui suit la signature. Encore une fois, il s'agit du même papier que celui de la menace précédente. Le clan Galmier a bien agrandi ses frontières, dirait-on.

Une nouvelle lettre parvient au capitaine Sherman. Celle-ci est légèrement tachée de sang, et elle est accompagnée d'une petite dague rouillée dirait-on.

Citation :

Saloperies, monumentaux connards, enfoirés, sac de foutre, Maraudeurs,

C'est avec déception que j'ai réceptionné la tête d'Arille Mirazor, ainsi que les cadavres de ses hommes qui vont servir à nourrir les dizaines de bouches affamées d'esclaves qui sont -à l'heure où je vous écris cette lettre- en train de frapper des cailloux à coup de marteau.
Vous pensez avoir tout perdu après avoir vu le corps de votre Lieutenant Deland retomber sur le sol de cette ferme ? Vous vous trompez, car c'est le début de la fin. J'ai anéanti votre campement de Todd, j'ai réussi à corrompre certaines bandes, j'ai acheté quelques mercenaires pour vous faire la peau en Strangleronce, vous serez à l'abris nul part !

En espérant que votre mort soit lente et douloureuse.

Une nouvelle fois, la signature "S" apparait à la fin de la lettre, d'une couleur rouge, comme pour symboliser le sang.

Cette lettre a été en transmise en premier lieu à Furen Longue-Babre, et ce dernier a donné la lettre au Capitaine Sherman pour l'aider dans sa recherche.

Citation :

Mon cher Furen, dernier des charbonnés, dernier des imbéciles,

J'ai le regret de t'annoncer que tes génocides doivent prendre fin une bonne fois pour toute. Ce pourquoi j'ai décidé de t'enlever ton fils, Jonathan, de tes bras jusqu'à ce que tu fermes ta fosse, que tu détruises la grotte où tu planques tes esclaves (d'ailleurs j'ai transféré secrètement les coordonnées de celle-ci au SI:7 qui a une base implantée en Strangleronce). Ce n'est pas parce que tu es à la Baie-du-Butin que tu n'es pas en sécurité. Par chance, mes hommes n'ont pas réussi à te repérer pour te faire la peau. Je vais être clément et te laisser une chance. Tu as un mois, jour pour jour pour te rendre à "L'Avoisier", une sorte d'embarcadaire que j'ai réquisitionné non-loin d'Arathi. Si tu te rends dans les délais promis, dans ce cas, mes hommes feront le trajet en bateau jusqu'à mon repaire, et là on parlera affaire pour Jonathan. Et si tu as l'intention de m'entoulouper, je me ferai un plaisir de l'égorger et de le jeter à la mer ! Tu es prévenu, dépêche-toi, l'heure tourne.

PS : J'ai autorisé mes hommes à prendre tes tonneaux de parfum pour femme, histoire que le monde soit au courant pour tes secrets beautés, ma chérie. Je crois que Jonathan me supplie de ne pas l'égorger...

La lettre est de nouveau signée d'un grand "S" majuscule.